Santé et bien-être, voilà deux notions radicalement inséparables. La démonstration est simple, il suffit de revenir au sens des mots. Depuis 1946, la définition de la santé telle que livrée par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) est restée inchangée : un état de complet bien-être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en l’absence de maladies ou d’infirmité. Ceci implique que tous les besoins fondamentaux de la personne soient satisfaits, qu’ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels. La santé est une notion relative, tant il est vrai que l’on peut être âgé ou atteint d’une maladie chronique correctement traitée, et rayonner de santé. L’état de santé donc, est aussi une affaire de ressenti.

Or, alors que manque d’hygiène, maladies d’origines microbiennes et virales ont marqué un immense recul depuis le 19e siècle, de nouveaux facteurs de risque rôdent autour de notre chère santé, corolaires de l’évolution de notre mode de vie et de la dégradation brutale de notre environnement : sédentarité, stress, alimentation industrielle, pollution (chimique, biologique, sonore et visuelle), isolement.

La santé, c’est un objectif. Et comme pour toute entreprise, des moyens ad hoc existent. Reste à les mettre en place. On pourrait nommer, d’abord, la décision qui consiste à aborder l’existence comme un art de vivre, en faisant de son corps et son âme des objets précieux que l’on polit, que l’on soigne et que l’on épanouit.
La base, c’est certainement de revenir aux fondamentaux et d’adopter les gestes dont des études ont prouvé qu’ils rallongent la durée de vie de près de quinze ans : absence de tabac, consommation d’alcool égale ou inférieure à un demi verre par jour, consommation de cinq fruits et légumes par jour et trente minutes quotidiennes d’exercice physique. Le contenu de notre assiette joue un rôle déterminant, de nombreuses études concluant qu’une alimentation exclusivement végétarienne permet de limiter les risques de cancer et de maladies cardio-vasculaires et, ce faisant, allonge la durée de la vie en bonne santé.

Nous avons la responsabilité de tendre, ou pas, vers cet objectif que sont santé et bien-être. Libre à nous, en effet, de choisir des aliments sains pour nourrir notre corps, d’opter pour un téléphone mobile aux émissions (DAS) minimales, de couper la wifi lorsque nous n’en avons pas besoin, de pédaler dans l’eau, de courir, de danser, d’affiner la silhouette, de méditer, de confier sa mécanique musculaire et osseuse aux bons soins d’un ostéo, de cultiver la bienveillance et de sourire à la vie.

Et rassurons-nous, nous ne sommes pas seuls dans cette démarche. Des professionnels de la santé et du bien-être nous accompagnent dans cette quête du bonheur simple et essentiel : être bien dans son corps et dans sa tête.