C’est le travail acharné qui vient à bout de tout ! Et de quoi donc précisément ?
D’abord de nos propres résistances internes parmi lesquelles on peut comp-ter la peur de l’échec, la paresse, sans oublier notre cher mental, ennemi re-doutable s’il n’est pas bien dompté. Mais lorsque détermination et  ténacité sont au rendez-vous, le travail permet à l’homme de remporter une vraie victoire sur lui-même. Cette victoire fortifie et contribue grandement à son bonheur. Oui, rien ne résiste au travail !

Par Madly Bienville

Comment faire pratiquement pour donner au travail cette puissance ?

• D’abord en lui donnant du sens, c’est-à-dire en l’inscrivant dans un projet de vie personnel. Le travail ne peut être victorieux sans cette motivation indispensable qui fait aimer le travail même quand on ne fait pas le travail que l’on aime.

• Vient ensuite le courage des débuts car le démarrage est souvent le plus dur. Le réflexe de la mise en route est une discipline d’autant plus efficace qu’elle est décidée et non pas imposée. Ensuite accepter de devoir franchir les obstacles les uns après les autres, en commençant par les plus faciles.

• Puis viendra le moment où il faudra durer, perdurer et “ingurgiter” des connaissances. Il n’est pas de performance durable sans cet entrainement progressif où l’homme au travail met au point sa méthode, découvre ses aspirations, son mode favori d’apprentissage et de mémorisation.

• Enfin, tenir bon pendant les inévitables coups de mou, les phases de doute, de découragement, de fatigue physique ou psychologique. C’est à ces moments précis que s’opèrent les véritables “victoires”, les essentielles “leçons”.

Pour donner au travail toute sa force, il convient aussi d’éviter certains écueils.

• Le premier est de ne pas présumer de ses forces dans le dilettantisme ni de tomber dans son excès contraire : le volontarisme forcené. Travailler n’est pas une question de quantité mais d’abord de qualité et de régularité. Le but du travail est d’acquérir progressivement un savoir, un savoir faire, qui nous permet d’apprendre, de raisonner ou d’entreprendre avec une agilité grandissante. Rien ne sert de pousser trop fort et trop vite.

• Attention aussi à celui qui s’obstine dans une voie qui n’est pas la sienne pour faire plaisir aux autres ou pour se conformer au rôle qu’il veut se donner.

• Enfin, l’homme ne peut réussir sans accepter les contraintes inhérentes à son travail. Toute activité, même la plus passionnante, comprend son lot de corvées et de déplaisirs qui mettent à l’épreuve sa patience.

Merci à Philippe Laurent notre expert Réseau du mois de décembre pour tous ses conseils sur le “Bonheur au travail”.

Madly Bienville 

Maitre Praticien PNL, 

Intervenante systémique et stratégique

www.travailleursdanslesiles.com

Tél : 0590 92 32 99