Inscrite dans l’ADN de l’entreprise, la confiance client sous-tend tous les engagements durables affichés par Orange.
Une ambition de marque au service d’un véritable enjeu de société, déclinée par Christine Albanel, la directrice exécutive responsabilité sociale d’entreprise (RSE), partenariats, diversité et solidarité d’Orange.

Par Daniel Rollé

Selon le ministère de l’Écologie, du Développement durable et l’Énergie, la RSE s’affiche, pour les années 2000, comme LA “contribution des entreprises aux enjeux du développement durable”. Des enjeux résolument assumés par le Groupe Orange.

Penser global, agir local

Conçue comme un levier de croissance mais aussi comme un contrat d’engagement sociétal et environnemental, la RSE est au cœur de la stratégie d’Orange en faveur de ses clients dans le monde. C’est le socle même d’“Essentiels 2020”, son nouveau plan stratégique quinquennal. En intégrant le contexte mondial et local dans sa réflexion à l’horizon 2020, Orange s’affirme ainsi résolument comme “une entreprise digitale efficace et responsable”, aux dires mêmes de Christine Albanel.

Depuis 2003, le Groupe explique et valorise les différentes initiatives locales de ses filiales en publiant chaque année son Rapport RSE et un rapport annuel d’activités, devenu aujourd’hui “intégré”, qui présente une performance globale, pas seulement financière, incluant la RSE. Sur le site Orange.com, le rapport RSE se présente comme “plus conforme aux exigences environnementales. Ce rapport se veut aussi plus intéressant car plus interactif, plus complet, tous ses chiffres devenant consultables en base de données par tous les clients Orange.”

Capture d’écran 2017-03-06 à 22.05.13Les trois piliers de la sagesse stratégique d’Orange

Pour que ses activités numériques profitent à la société dans son ensemble, le Groupe Orange érige la “confiance client” en pierre angulaire de son nouvel édifice stratégique : bâtir sa politique de responsabilité sociale d’entreprise avec de grands piliers de soutènement. “Le premier de ces piliers, c’est l’exigence éthique”, argumente Christine Albanel. L’éthique, comme guide suprême de comportement, de travail, d’action. L’éthique comme source de justice sociale pour tous les salariés du Groupe (parité hommes-femme), mais aussi de sécurité des données personnelles et de protection de la vie privée des clients. Une éthique responsable qui cible également “les achats”. Le Groupe est à l’origine de la Joint Audit Corporation, organisme international invitant “l’ensemble des opérateurs Télécom à la plus grande vigilance collective sur les secteurs sensibles (le travail des enfants, par exemple, chez certains fournisseurs), sur la transparence publique de leurs relations avec les États, sur tout ce qui a trait aux conflits d’intérêt et à la lutte contre la corruption.” Deuxième pilier fondateur : “l’environnement”. Opérateur vert, chantre de l’économie circulaire, Orange est en pointe en matière d’éco-conception des produits et services, d’économie d’énergie, de collecte et recyclage des mobiles. Dernier pilier : “l’engagement d’Orange au service de la société”, pour “faire du numérique un progrès pour tous”, tout à la fois symbole et acteur d’une transformation partagée avec le plus grand nombre.

La Fondation Orange crée du lien

La “révolution sociale”, environnementale et digitale lancée par Orange au plan international, est confirmée aux Antilles-Guyane par Catherine Nordey, la déléguée mécénat et responsable de la communication “corporate” d’Orange dans nos régions : “La vocation de la Fondation Orange est de créer du lien entre les individus. Rendre le monde plus accessible. C’est l’ambition que poursuit Orange aux Antilles-Guyane avec sa Fondation. Elle soutient, en ce sens, les projets d’association (des fablabs, des écoles et des missions locales) en faveur des femmes, des jeunes, des scolaires, des personnes autistes, en construisant un pont stratégique vertueux, pour permettre l’accès au numérique à tous ceux qui, pour des raisons diverses, n’y ont pas accès.” Pour ré-enchanter l’avenir.