Freedom Portage est la seule société de portage salarial présente aux Antilles-Guyane.  Eclairage sur ce modèle social novateur, porteur de bien-être.

Par Alice Colmerauer

En 2025 aux États-Unis, la population active comportera plus de « freelance » (indépendants) que de salariés. Il en sera de même un jour en France où actuellement la population de portés augmente de 30% par an avec un pronostic annoncé pour 2025 de 600 000 portés.

Sur ce marché concurrentiel, les freelance ont libre choix. Freedom Portage se distingue par ses valeurs : une loyauté démontrée et une transparence absolue, garantissant l’absence de ponctions sur les revenus de ses freelance.

Avantages bilatéraux

Le freelance n’a pas d’entreprise à créer, de déclaration à émettre et ne prend aucun risque financier (impayés, recouvrement etc.). Tout en restant indépendant, il bénéficie des avantages du salariat : régime général sécurité sociale, retraite, mutuelle, droit à la formation et couverture des intermissions par Pôle Emploi.

Son CDI ou CDD et ses bulletins de salaire restaurent le crédit qu’il avait perdu en tant qu’indépendant, notamment auprès des bailleurs et des banques.

Pour l’entreprise, le portage salarial a de nombreuses qualités. Avec l’engagement d’un intervenant sur des objectifs et des missions définis, le portage salarial substitue des garanties à des risques. La société peut ainsi entreprendre des projets pour lesquels elle n’a pas les ressources ou les compétences. Le portage coute moins cher qu’un salarié équivalent et, a fortiori qu’un prestataire de services. A l’issue de la mission il n’y a qu’une facture à payer et aucun souci d’attestation de vigilance ou autres à réclamer !

De plus, Freedom peut prescrire un talent particulier (infographiste, chargé de projet, community manager etc.) parmi ces métiers du XXIème siècle qui sont ceux de l’économie de la connaissance.

Chief Happiness Officer (CHO)

En l’absence de conflit d’intérêt entre Freedom et ses portés, son DRH devient « responsable du bonheur » (Chief Happiness Officer) offrant à ses freelance coaching, formations, services… leur permettant d’augmenter leur valeur ajoutée et leur portefeuille clients. Des ateliers sont proposés, dont un au nom évocateur de « Born to be libre » (apprentissage de l’indépendance) en partenariat avec Le Spot, espace de co-working.

« Nous leurs faisons prendre conscience de leur appartenance à une communauté qui les reconnait, les valorise et les prescrit. Nous participons à leur publicité et au développement de leur réseau. Ils ne sont plus isolés, mais libérés de toute contrainte comptable, financière, déclarative ou juridique. Plus sereins, moins astreints par le court terme, ils adoptent des stratégies plus rémunératrices : c’est un cercle vertueux qui, s’il n’assure pas le bonheur, y contribue fortement ! » conclut Angélique Odin, CHO.