Depuis dix ans, l’eau KARULINE inonde les moyennes et grandes surfaces et gagne en parts de marché.

Rodolphe Payen, directeur de l’entreprise, garde la tête froide et poursuit son action de qualité.

Par Ori Ménel

Rodolphe Payen - directeur Karuline

Rodolphe Payen ouvre les portes de son usine de production d’eau que nous découvrons équipée des attributs réglementaires de sécurité.

Car cette production sensible, sous haute protection sanitaire, est soumise à de fréquentes analyses pouvant conduire à des décisions drastiques en cas de contamination.

Les lieux et les machines automatisées en acier rutilant sont stérilisés. Aucun contact manuel.

Toutes les commandes sont à écrans tactiles, d’où un risque quasiment nul de contamination par manipulation, de la fabrication des bouteilles à leur emballage, une fois pleines. 

KARULINE, spécificité guadeloupéenne 

Eau rendue potable par traitements, l’eau KARULINE est captée directement dans la rivière de Petit-Bourg, à un point de captage situé très nettement en amont de toute culture.

Elle est ainsi dès l’origine exempte de toute éventuelle dégradation causée par l’activité humaine.

Elle subit ensuite un protocole de traitements par filtration pour sa potabilité constante.

Bouteilles Karuline

Une eau de bonne qualité…

Les analyses attestent que cette eau ne recèle aucune once de chlordécone ou autres pesticides.

« KARULINE est une eau douce, légère, agréable et facile à boire car très peu minéralisée.

Avec 39mg de minéraux/litre et zéro nitrate, c’est une eau de bonne qualité qui peut être bue par toute la famille », affirme Rodolphe Payen qui renchérit :

« Toutes nos productions sont strictement contrôlées.

Nous avons notre propre laboratoire qui effectue plusieurs prélèvements par jour mais nous sommes aussi en contrat avec l’Institut Pasteur qui réalise un double contrôle.

En outre, l’ARS procède à des analyses inopinées et teste la conformité de l’eau qui doit répondre aux normes qualité des eaux embouteillés. »

Eau Karuline à l'usine

…appréciée du consommateur

Depuis sa création en 2009, KARULINE est progressivement devenue le produit phare de la société West Indies Pack, qui avait démarré en 1998 par la fabrication et la commercialisation de sodas, sous la marque Virgin Cola puis Yékri.

Le déclin des boissons sucrées, suite à la prise de conscience universelle des méfaits du sucre sur l’organisme, a boosté la consommation de l’eau.

L’usine s’est adaptée à l’implacable loi du marché et privilégie sa production d’eau qui surclasse désormais son volume de sodas.

100 000 bouteilles sont produites quotidiennement et la marque s’exporte en Martinique, Guyane, à Saint-Barthélemy et Saint-Martin.

Le consommateur guadeloupéen manifeste sa sympathie à KARULINE par une croissance constante des ventes.

Le critère du prix est un argument déterminant.

Les concurrents sont en moyenne plus chers de 10 centimes/bouteille.

Etiquetage bouteilles Karuline

Des objectifs

Le respect notoire de Rodolphe Payen pour ses confrères concurrents n’est pas incompatible avec des ambitions de développement.

Il nous confie : « KARULINE a de l’avenir ! Je prévois des investissements pour améliorer ma chaîne de production, notamment en ce qui concerne l’eau KARULINE pétillante et nos petits format 50cl et 33cl. »

Or, depuis trois ans, KARULINE eau pétillante s’installe dans les rayons et les restaurants.

Avis aux amateurs.

KARULINE
karuline.com
FB @karuline