Sur nos territoires, le transport est un domaine qui innove, surprend et va au devant des nouvelles vogues.  Avec la satisfaction du client comme exigence quasi obsessionnelle. Alors évidemment, la qualité est au rendez-vous.

Qualitatif : ainsi peut-on désormais qualifier le marché de l’occasion qui s’achemine tranquillement vers un âge d’or. L’explication ? Les habitudes de consommation évoluent. Aujourd’hui, on achète une voiture plus récente que l’on revendra deux ou trois ans plus tard. L’intérêt : bénéficier des mêmes conditions d’achat que pour un véhicule sorti d’usine – en termes de crédit et de garantie – tout en déboursant moins que pour du neuf. Un nouvel appétit repéré par les concessionnaires qui accompagnent cette demande en valorisant leurs véhicules pour proposer des produits d’occasion irréprochables… Résultat : la qualité de l’occasion grimpe et les ventes s’envolent suivant la tendance nationale : désormais, il se vend trois voitures d’occasion pour une neuve.

Quoi qu’en dise la crise économique, le marché premium se porte bien aussi. Il a pour lui d’être l’apanage d’une clientèle régulière aux Antilles-Guyane, comme en attestent les ventes florissantes des plus grandes marques, Porsche, Jaguar ou Land Rover…

Encore cantonné sur son segment, le véhicule hybride, quant à lui, est sur le point de percer mais affiche des scores
nuancés. En cause, le prix encore élevé des modèles proposés et les contraintes liées aux équipements de charge.

Quant au diesel, il devrait, en 2017, suivre la tendance internationale et perdre de sa superbe au profit de l’essence et de l’hybride qui devraient, peu à peu, le supplanter.

Enfin, le marché des SUV a le vent en poupe, boosté, il faut le noter, par un public féminin qui n’hésite pas à se tourner vers les modèles les plus imposants. Des versions les plus simples et les moins onéreuses (Kia, Hyundai) aux modèles luxueux (Audi, Toyota), le SUV se porte à merveille, avec une nette tendance au suréquipement électronique : radars, caméra arrière, régulateur de vitesse, alarmes électroniques et éclairage LED. Les marques mettent un point d’honneur à concevoir des habitacles confortables en optimisant en particulier l’ergonomie d’assise.

Tout pour le client : un leitmotiv qui sied aussi à l’équipement des professionnels du transport et du BTP. En Martinique, Bamitel l’a bien compris qui vient de créer le fourgon « Hi-Matic », véhicule premium, confortable et puissant, adapté à la topographie et aux contraintes de circulation locales.

Coté mer, les honneurs vont aussi au secteur de la croisière. Une activité florissante sur nos départements, comme en atteste le prix Over the top décerné pour la 4e année consécutive par Costa Croisières à l’agence Penchard Voyage – confirmant du même coup la position de leader du voyagiste dans ce domaine.

Dans les airs, deux acteurs majeurs offrent leurs services sur les dessertes Antilles-Guyane : Air Antilles et Air Caraïbes. Leurs stratégies distinctes font le bonheur des voyageurs qui trouvent auprès de ces compagnies des offres complémentaires.

Forte de ses alliances avec une demi-douzaine de compa-gnies, la compagnie Air Antilles se déploie sur des destinations de plus en plus exotiques telles que la Barbade, et ne cache pas avoir des vues sur Saint-Thomas et Sainte-Croix. Air Antilles, première compagnie régionale, transportera cette année 450000 passagers et plus de 500000 l’an prochain.

Air Caraïbes, pour sa part, fait le choix de ne pas explorer de nouvelles destinations cette année pour conforter sa positon sur le marché antillais, affichant une progression sur les destinations inter îles entre la Guadeloupe et la Martinique, Saint-Martin, Saint-Domingue et Sainte-Lucie. La compagnie se distingue par sa ligne transatlantique (c’est le 2e transporteur en croissance sur la ligne Paris-Antilles), avec des A 350 venus renforcer la flotte et l’ouverture, au départ de Paris, des lignes vers Punta Cana et La Havane.

Ces deux entreprises ont pourtant un point en commun :
la volonté quotidienne d’afficher les meilleurs tarifs.

Quand je vous dis que le transport antillo-guyanais se plie en quatre pour ses clients…