Etre conseillère commerciale chez CGFF, portrait de Séphora Sainte-Rose 

Conseillère commerciale chez CGFF depuis plus de quinze ans, Séphora Sainte-Rose s’épanouit professionnellement et personnellement en se dépassant. – Texte Fanny Fontan 

C’est le destin qui a mené Séphora Sainte-Rose vers le monde de l’automobile. « J’ai acheté ma première voiture, offerte par ma mère, au service occasions de Croquet SA (actuel Peugeot). On a sympathisé avec l’équipe sur place et ensuite ils m’ont rappelée pour mon premier boulot de vacances » se souvient-elle. « J’étais enchantée ».

Elle travaille à plusieurs reprises dans divers services de l’entreprise et est finalement embauchée comme assistante administrative. 

Elle gravit vite les échelons et devient assistante marketing puis assistante qualité, une mission « très prenante » dans laquelle elle s’investit à fond par goût du challenge. « Une fois qu’on a eu la certification ISO j’ai dit : là j’arrête, je souhaite changer d’orientation ». 

Séphora Sainte-Rose, le défi comme mode de vie

Elle souhaite passer au service de location courte durée, un tout autre métier mais toujours dans le conseil. C’est là que CGFF vient la chercher. « Séphora est tenace et positive » considère Jennifer Birba, directrice d’exploitation CGFF en Martinique.

Elle fait donc son entrée dans l’entreprise de location longue durée CGFF en 2004 comme assistante administrative. Puis fait ses preuves avant de se voir proposer le poste de conseillère commerciale.

Bien qu’elle concède avoir du caractère, elle est d’abord intimidée et commence par répondre « jamais de la vie ! ». Puis finit par relever le défi. « Au début c’était dur. Il fallait s’accrocher et ne rien lâcher. Finalement je m’éclate vraiment dans ce que je fais. »

« J’aime beaucoup la partie négociations avec les clients. C’est toujours un consensus gagnant-gagnant qu’il faut trouver et on en sort grandi à chaque fois ».

Grimper mais aussi plonger

A terre, elle grimpe les échelons, en mer, elle plonge. « J’adore la mer mais avant, ma vision de la plongée c’était comme le poste de commerciale : « jamais de la vie ! » Mais à force d’être entourée d’amis qui pratiquent, je me suis finalement lancée et j’ai passé mon niveau 1. J’aime être sous l’eau, sans bruit, comme dans une bulle de bien-être. »

« Il y a un vrai parallèle entre mon métier et ma passion pour la plongée : un besoin de confiance en soi pour se lancer et s’adapter à un environnement en perpétuel changement ».

Son prochain défi ? « Apprendre la guitare ».