Portrait. Calme et méthodologie sont les mots qu’inspire le nouveau directeur commercial d’Ecofip Guyane, Stéphane Dumais. Rencontre. – Texte Yva Gelin

Il s’agit d’une création de poste, pouvez-vous nous en dire plus sur les raisons qui ont poussé à la mise en place d’un directeur commercial ?

Stéphane Dumais, directeur commercial : Ecofip Guyane est constitué de deux volets principaux. Il y a la partie agriculture, prise en charge par Jacques Rayar, et il y a ce que l’on nomme le plein droit. Cela englobe le matériel et c’est dans ce volet que j’interviens. Plus concrètement, je suis responsable de l’équipe commerciale qui se compose de deux commerciaux et d’une secrétaire commerciale.

« La logique de transmission dans laquelle je suis est très claire car en plus de mon expérience professionnelle, je m’appuie sur un diplôme de formateur. »

Qu’est-ce qui vous motive avec ce nouveau poste ?

En un mot, la transmission. Je voudrais inculquer à mon équipe une certaine méthodologie afin d’améliorer le suivi des dossiers, la réactivité mais aussi la relance avec l’objectif final d’augmenter le chiffre d’affaires. La logique de transmission dans laquelle je suis est très claire car en plus de mon expérience professionnelle, soit 25 ans commercial chez un grand concessionnaire automobile, je m’appuie sur un diplôme de formateur. L’équipe commerciale d’Ecofip est jeune, dynamique et ne demande qu’à apprendre.

L’aventure Ecofip faisait-elle partie de vos projets ?

J’ai connu Ecofip il y a 15 ans en tant que partenaire. J’avais cette envie de prendre une nouvelle orientation dans ma vie professionnelle. Lorsque j’ai eu la proposition d’occuper ce poste de directeur commercial, j’y ai vu l’opportunité d’engager le changement de cap que je souhaitais dans une entreprise dont je connaissais déjà la bonne réputation basée sur la rigueur et la sécurité. J’ai commencé début mars et tout ce que j’expérimente depuis ne fait que me confirmer la solidité du groupe Ecofip, avec l’avantage de travailler avec une équipe à taille humaine, ce qui est d’autant plus agréable.

« J’ai vraiment la fibre du contact humain et ce métier me permet de pouvoir exploiter cette compétence sous tous ces angles. »

Qu’est-ce qui vous passionne dans le métier de commercial ?

Il y a de nombreuses choses qui m’animent dans ce métier. Le travail d’accueil, le fait de devoir être à l’écoute, de sonder des besoins, de réfléchir à comment fidéliser en fonction des profils et attentes… Démêler une situation pour un client est différent à chaque fois. J’ai vraiment la fibre du contact humain et ce métier me permet de pouvoir exploiter cette compétence sous tous ces angles.

Comment voyez-vous votre place à Ecofip sur le long terme ?

Ce n’est pas une question qui me préoccupe pour l’instant. Je suis concentré sur la structuration des méthodes de travail et je m’y sens bien. Pour le futur on verra mais tant que je suis épanoui quelque part, je ne vois pas de raison d’aller ailleurs.

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