À l’origine de nombreux ouvrages remarquables de Guadeloupe, il y a ICM : le Mémorial ACTe, la tour de contrôle du Raizet, le lycée Coeffin et deux cents logements livrés chaque année, entre autres.
Pour ses trente ans, il fallait bien cela : mettre un coup de projecteur sur un constructeur dont la discrétion est à la mesure de la compétence.
Leader du BTP en Guadeloupe, ICM met à la disposition des donneurs d’ordres publics et privés son savoir-faire d’entreprise, sa performance et son expertise.
300 salariés, 50 millions d’euros de chiffre d’affaire annuel, des chantiers orchestrés par une dizaine de brillants ingénieurs comme autant d’entreprises autonomes : depuis les 750 m2 de bureaux érigés à Jarry (du fait maison, bien entendu), ICM rayonne sur la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane avec sa puissance de constructeur total.
Expert de la conception réalisation, ICM conçoit, aux côtés des architectes et bureaux d’études, exécute ses chantiers de A à Z et livre à ses clients du clef en main.
Une technicité reconnue à l’international, comme en atteste le prix International Arch of Europ décroché par ICM en 2010, lors de la Convention Internationale de la Qualité.
Qui dit ICM dit prouesses techniques
Daniel Etienne Erlong, président d’ICM, ne cache pas sa fierté.
Il faut dire que les ouvrages d’ICM, pièces uniques audacieuses tant par leur architecture que par leur réalisation, s’imposent comme les fleurons de Guadeloupe.
- Parmi eux, la tour de contrôle du Raizet, 50 m de haut, réalisée sans échafaudage grâce à une technique de coffrages grimpants (banches).
Cette performance a été menée en 18 mois, temps record. Une première en Guadeloupe.
- À ICM, nous devons aussi le Mémorial ACTe, œuvre magistrale, monument de verre et dentelle de métal blanc de la même trempe que le Mucem de Marseille, conçu par les architectes guadeloupéens Mocka-Célestine, Berthelot, Marton et Doré.
Bâti en deux ans sur le site de l’ancienne usine Darboussier, ce bâtiment de 7 800 m2 a ouvert ses portes en 2015, faisant l’événement.
Geste architectural
ICM, c’est aussi le constructeur de la plus grande surface de planchers de bâtiments scolaires de Guadeloupe :
- le lycée Charles Coeffin et le collège Maurice Satineau à Baie-Mahault
- le collège Felix Eboué à Petit Bourg
- le lycée hôtelier de Gosier
- l’université Camp Jacob à Saint-Claude (réhabilitation d’un ancien bâtiment militaire)
- la Cité scolaire de Baimbridge : quatre années de travaux et 80 millions d’euros de budget
« Un geste architectural », pour reprendre les mots de M. Erlong, un ouvrage exceptionnel, avec ses classes et son internat placés en retrait du boulevard et son restaurant suspendu.
« Un projet né sous le signe du beau » , résume le président.
ICM, c’est aussi :
- le complexe omnisport Laura Fessel à Petit-Bourg
- le centre culturel Sonis aux Abymes
- le centre hospitalier de Basse-Terre
- la résidence hôtelière Le Savannah à Saint-François
- l’extension de la mairie de Gosier
- le bureau du SIAEAG
- les recettes des douanes de Jarry
- la station d’épuration de Moule et trois stations service
- le siège de la CAF à Dothémare, projet novateur et remarqué, coiffé de panneaux solaires
Le BTP au service du vivre ensemble
ICM est le premier constructeur de logements sociaux du département.
Pour ne citer qu’une seule de ses réalisations, l’ensemble Petit Loïc à Bergevin, qui égaie le front de mer par ses lignes pures et ses teintes vives, force le respect.
Une proposition fraîche de vivre-ensemble.
La Martinique doit à ICM l’imposant lycée de Ducos, érigé à l’aube du nouveau millénaire.
La Guyane, elle, bénéficie d’une antenne d’ICM, qui a signé entre autres l’élégant siège d’EDF en 2012.
La rigueur
Comment, me direz-vous, une entreprise spécialisée dans les années 1990 dans la construction de bâtiment industriels s’est-elle imposée comme entreprise générale leader, remportant de nombreux marchés publics structurants pour le territoire ?
M .Erlong répond par un tiercé gagnant.
« La rigueur d’abord. La qualité est notre obsession », assène-t-il.
« Nous nous engageons sur un délai et un coût. Le respect de la parole donnée est une valeur cardinale chez ICM. »
Voir grand ensuite.
« Ingénieur en construction civile, je suis revenu en Guadeloupe, il y a trente ans, fort d’une expérience de deux décennies au sein du groupe Freyssinet International.
Je ne voulais pas faire du bricolage. Je souhaitais créer un groupe », explique le président.
Alors M. Erlong s’est entouré. De collaborateurs clef d’abord – le directeur général, Bruno Fréderic, la directrice administratif et financier Lena Cléril – et d’ingénieurs, femmes et hommes.
La plupart sont ses compagnons de route depuis plusieurs décennies.
« Avec ICM, j’ai voulu dire « wi nou sav fè sa » et prouver que les Guadeloupéens savent faire. » conclut M. Erlong.
Pari tenu.
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