Depuis quelques années, Nicola Coppa et 

« Guadeloupe, nature, environnement » œuvrent pour le développement de la culture bio.  Une façon de perpétuer les traditions d’antan.

Contact
Guadeloupe, nature, environnement : 0690 65 07 45 – www.gwadecologie.info

 

Que représente le bio à vos yeux ?
La Caraïbe est très riche en biodiversité. Notre volonté est de promouvoir une agriculture écologique, représentative de la biodiversité de notre patrimoine naturel. Il y a quelques années, de nombreuses personnes cultivaient leur jardin créole, et très peu d’agriculteurs avaient la certification bio.

Pourquoi cultiver bio ?
C’est avant tout pour avoir une agriculture qui soit en harmonie avec le rythme naturel des écosystèmes de notre patrimoine.

Comment situer le bio socialement ?
Nous contribuons à la préservation de l’environnement. C’est un geste éco-citoyen, première solution alternative aux cultures traitées à base d’engrais et de produits chimiques. Ce qui permet d’éviter la pollution et de se préserver de catastrophes comme le chlordécone ou l’épandage aérien.
Et sur le plan économique ?
En pratiquant la vente directe du producteur au consommateur, les prix restent accessibles. 90% de la production relèvent de la vente directe et 10 % sont commercialisés par des magasins indépendants.

Que faire pour promouvoir le bio ?
Notre souhait serait d’avoir un soutien de la population vers les producteurs bio locaux, non seulement financier, mais dans toute la logistique de ce mode de culture.